Certes, ceci est la version musclée de ma voiture et ce n’est même pas moi au volant, mais j’ai dû « affronter » ces mêmes difficultés. Comme vous le verrez sur les photos ou les vidéos, les instructeurs étaient trop occupés à diriger des novices pour pouvoir filmer ou photographier. Et puis mon téléphone s’est rapidement trouvé en panne de batteries.
Pour apprendre à mieux connaître mon engin, je me suis offert une journée de découverte 4×4 à la « Jeep Academy », organisée dans les bois du Centre Forest Hill de Montralet, à 50 km de Paris.
Ce que je n’avais pas prévu, c’est de e retrouver dans une journée promotionnelle du groupe Stellantis, organisée pour ses collaborateurs. Mis à part la courte présentation de propagande sur les bienfaits de l’hybridation, ceci n’a rien changé à mon programme :
- roulage en convoi de 4 voitures pour découvrir la gamme jeep et leurs possibilités ; changement de conducteur et de véhicule toutes les 1/2 heure. Compte tenu du positionnement des voitures, je n’ai conduit que le Wrangler (enn rouge dans les vidéos, en bleu sur les photos)
- déjeuner
- puis atelier sur des difficultés un peu plus importantes dans un Wrangler. Là, nous n’étions plus que deux. La séance promotionnelle ne durant que la 1/2 journée, et une seule autre personne ayant la possibilité de rester la journée : le gagnant d’un concours organisé par Stellantis au Mondial de l’Auto.
Que ce soit le matin ou l’après-midi, en tant que conducteur ou passager, j’ai été impressionné par les capacités de ces engins. Ça n’a pas l’air impressionnant sur les images, mais se retrouver dans un dévers à 28° ou des pentes ou montées boueuses qui sont franchies allégrement, offrent des perspectives très différentes.
Bref beaucoup de plaisir, malgré la concentration nécessaire. Le plus difficile :
- savoir où mettre les roues et trouver la bonne trajectoire. Il semblerait qu’il n’y ai pas de miracle et qu’il faille soit une seconde paire d’yeux, soit descendre de voiture et explorer soi-même. Et surtout, il faut penser à la possibilité de revenir facilement en cas de difficulté infranchissable. La marche arrière sur X km n’est pas un partie de plaisir et peut être rendue impossible par une « marche » qu’on a bien pu descendre, mais qu’on ne pourra pas remonter.
- savoir doser le frein et l’accélérateur
- et surtout, ce qui rejoint le premier point, ne pas « suivre » la voiture quand elle se met à partir toute seule, à droite ou à gauche, ce qui est quasi instinctif. A l’opposé, essayer de lutter contre un engin de 2 tonnes dans des ornières relève du rêve.
Bref, j’ai encore beaucoup de pratique à acquérir, ce qui me promet quelques week-end d’occupation dans les terrains de la région parisienne 😄
Bon courage pour cet apprentissage !
Merci Ghislaine pour ces encouragements, mais rassure-toi, c’est aussi de l’amusement 😉
Pour le moment, ça m’amuse. J’attends de rentrer pour ré-essayer ????