2/3 janvier 2023 – Marseille / Palerme
2/3 janvier 2023 – Marseille / Palerme

2/3 janvier 2023 – Marseille / Palerme

Tout d’abord, avant de vous narrer le début de mon nouveau périple, laissez-moi vous présenter tous mes voeux pour cette nouvelle année :qu’elle vous apporte ce que vous souhaitez, et de bonnes surprises en complément.

Si je vous souhaite de bonnes surprises, c’est que l’année 2022 s’est terminée avec son lot d’imprévus, conséquence d’une préparation un peu tardive. J’avais tout d’abord prévu de parcourir les côtes occidentales de la Corse, de la Sardaigne et de la Sicile, pour remonter ensuite par leurs côtes orientales. L’achat des « Guides Verts » me montra que je pouvais passer plusieurs semaines sur chaque île. Je décidai donc de commencer par la Corse et de voir ensuite pour les autres îles. Prudent, je réservai mon passage pour Bastia, me réservant une partie du temps passé en famille pour établir des parcours plus détaillés.

C’est pendant cette période que je découvris que la Corse était fermée au tourisme jusqu’en mars/avril et que j’avais une quasi certitude de galérer pour trouver un gîte le soir. Sans parler de certaines routes coupées (d’après TOM TOM) ce qui me faisait faire plusieurs fois le même trajet (sans compter l’augmentation du kilométrage). La Sardaigne n’était pas beaucoup mieux, restait donc la Sicile.

Pour y aller, direction Gênes et le ferry pour Palerme dont le départ est à 23heures et l’arrivée, le lendemain, vers 19h30.

Ayant du temps devant moi, j’ai pris la route septentrionale qui me permettait de prendre l’autoroute payante si le besoin, ou l’envie, s’en faisait sentir. Mais avant, j’ai nettoyé la voiture qui en avait bien besoin après notre petite escapade en « tout chemin ».

Lassé d’être coincé derrière une voiture sur les routes sinueuses de l’arrière pays d’Antibes et de Nice, ainsi que des embouteillages en banlieue niçoise, je finis par prendre l’autoroute pour m’éviter les traversées de ville et une conduite plus aisée à la nuit tombante. Bien m’e a pris, car la pluie, accompagnée de grains, m’accompagne pratiquement de la frontière italienne jusqu’à Gênes, où j’arrive trois heures avant le débute l’embarquement. Petit tour dans le « centre commercial » du terminal, puis fatigué d’attendre, je pars vers la zone d’embarquement, que je ne trouve pas tout de suite. Cela me vaut un trajet de 5 kilomètres pour revenir à mon point de départ et de trouver finalement le parking d’attente.

La dernière descente pour atteindre le parking qui m’est alloué doit se faire en marche arrière : intéressant.

Dîner au restaurant du ferry d’un mélange de fruits de mer et de légumes grillés.

Nuit plutôt tranquille et petit-déjeuner où je retrouve les croissants italiens, fourrés à la confiture ou autres ingrédients.

La journée promet d’être longue : l’internet est très cher et très lent, décourageant donc son utilisation. Quant à la télé, je ne comprends pas suffisamment bien l’italien pour la suivre. J’ai cru comprendre cependant que le prix de l’essence allait beaucoup augmenter, ce qui aurait provoquer une pénurie dans les stations au moment du changement de prix. J’espère avoir bien interpréter et ne pas me retrouver face à une grève des pompistes ou autres …

Le débarquement est un véritable capharnaüm. Tout commence par la demande de rendre les cabines pour 16h30 (arrivée à 19h30) et de se regrouper aux différents bars selon la place de parking. Tout le monde s’entasse donc peu ou prou et cherche à s’occuper. Vers 19h, le navire entre dans le port de Palerme en effectuant un magnifique 1/2 tour et une marche arrière pour s’accoster au quai.
On appelle tout d’abord les passagers qui ont payé le droit de sortir en premiers, puis tout le reste en vrac. J’ai la malchance d’être au parking le plus bas, donc celui qui va sortir en dernier ; ce qui in fine n’est pas si sûr. En effet, selon l’arrivée des occupants des voitures, des files entières sont bloquées, pendant que d’autres manœuvrent pour se faufiler ????

J’arrive à l’hôtel IBIS que j’ai réservé pour 6 nuits, comptant profiter de la ville et de ses environs proches. Le parking de l’hôtel jouxte le Mercure à 150m de là et est gardé en permanence. Je dois laisser la voiture dans la pente du parking, au bon soin du gardien qui garde toutes les clefs.
Ce parking est fermé pour les fêtes (le 6 janvier) et le dimanche.

Le Trajet

Ferry Gênes / Palerme

En Chiffres

Distance Parcourue 427 km


  • ⛽️ 314 km
  • 113 km

Durée


  • Durée de roulage : 7h
  • Durée totale : 36h

Vitesse


  • Moyenne : 61 km/h

Déjeuner


  • Restaurant : CM Signature Le Luc en Provence / Ferry
  • Menu :
    • cassolette de moule sur fondue de poireaux
    • curry de poulet
    • café
  • Menu
    • Merlu au four
    • légumes vapeur
    • café
  • Prix : 23,20€ / 15 €

Dîner


  • Restaurant : ferry / IBIS
  • Menu :
    • entrée de poissons
    • bière
  • Menu
    • Escalope Palermoise
    • Haricots verts
    • gâteau
    • verre de rouge
  • Prix 24€ / 28€

Couchage


  • Hôtel : ferry /IBIS Style Crystal Palace Palerme
  • Confort : correct / a connu des temps meilleurs
  • Prix : – / 441,40€ (6 nuits) + 90€ parking

Activités


  • /
  • Total Marche : /

⛽️ Essence / Recharge


  • SP : 95
  • Quantité : 25 l
  • Prix : 43,85 €
  • Recharge

Divers


  • passage ferry 212€

6 commentaires

  1. Aude

    Ça c’était un bon entraînement la marche arrière en descente pour entrer dans le parking ????????…!!!
    On attend les photos de Palerme (pas que des églises ????).
    Bisous ????

  2. Catherine

    Sans oublier le temple qui a été transformé dans tous les sens en église ou en mosquée suivant les époques.
    Décalage horaire ou pas ? J’ai oublié
    Bon séjour en Sicile

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